Le plombier se fait croquer

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il y a 5 ans

« J’ai appelé un plombier car il y’a une fuite dans les toilettes. Il doit passer aujourd’hui entre 16 heures et 19 heures » m’annonce Elsa au téléphone. « Je reste à la maison pour lui ouvrir car tu ne va pas rentrer avant 20 heures ? »

Le travail, ce n’est pas ça qui manquait.

« Tu as tout compris, ma chérie, à plus tard. Bisous. » Le téléphone à peine raccroché, je me replongeais dans mes dossiers.

Je ne voyais pas le temps passer. Il était 16 heures lorsque je relevais la tête.

« C’est bon pour aujourd’hui, j’ai ma dose » pensais-je en refermant l’ordinateur. Je n’avançais plus à rien, mieux valait rentrer et se reposer.

Sur la route, je pensais à Elsa.

Ses formes attiraient invariablement le regard des hommes notamment sa poitrine. La nature l’avait gâtée. Sous une apparence plutôt sage, nous étions un couple très ouvert. Au cours de soirées plus ou moins coquines, nous avions vécus de nombreuses expériences pour certaines inoubliables. Elsa était une femme au tempérament de feu lorsqu’elle était excitée.

Lorsque j’arrivais devant la maison, je remarquais immédiatement la présence d’une fourgonnette professionnelle. Le plombier était déjà à pied d’œuvre. Tant mieux, pensais-je, ce sera toujours un problème de réglé !

Refermant la porte d’entrée, je découvrais notre artisan en pleine conversation avec Elsa.

« Bonjour Monsieur, » lui dis-je en lui tendant la main.

« Bonjour, monsieur, j’expliquais à madame les raisons de la fuite dans vos toilettes. »

Au premier coup d’œil, je sus qu’il était le type d’homme qu’appréciait Elsa. D’ailleurs, elle semblait très intéressée par les explications de notre hôte. Je remarquais surtout ses petits coups d’œil experts dès que notre plombier avait le dos tourné. Il faut dire qu’il dégageait un charme certain et qu’il était plutôt beau gosse.

« Il faut que j’aille chercher la pièce à l’atelier car je ne l’ai pas dans ma voiture. Quand pourrais-je revenir la poser ? » demanda-t-il en jetant un coup d’œil sur la poitrine d’Elsa.

Je regardais celle-ci un bref instant. Son regard pétillait d’excitation.

« J’habite à 20 minutes d’ici » dit le plombier en laissant son regard parcourir le corps d’Elsa. Visiblement, il semblait apprécier ses formes.

« Le plus vite sera le mieux » lui répondit Elsa en ne cherchant même pas à dissimuler son intérêt croissant.

« Pas de problème, je reviens au plus vite » nous répondit-il en se dirigeant vers la porte.

Celle-ci à peine refermée, Elsa me sautait dessus.

« Il est pas mal foutu ce plombier, tu ne trouves pas ?»

« J’ai surtout vu qu’il te matait avec gourmandise dès que l’occasion se présentait ! » lui répondais-je en la prenant par la taille. Tout en lui caressant le dos, je remontais vers la poitrine tandis que mon autre main ouvrait son pantalon. Mes doigts trouvaient rapidement le chemin de son intimité. Elsa était trempée !

« Dis-moi, il t’a bien excitée ! »

Elsa ne répondait pas mais se concentrait sur mon pantalon. La ceinture cédait rapidement. Tandis que je triturais son bouton de plaisir, Elsa libérait mon sexe de sa prison de tissus. Sa main experte ne tardait pas à m’exciter comme elle seule sait le faire. Il faut dire qu’elle me connaissait par cœur et savait où caresser pour me faire perdre la tête.

Nous nous laissions tomber sur la banquette. L’excitation était à son comble, les respirations saccadées. Nos mains se baladaient partout, nous faisant perdre la notion du temps. Elsa me faisant le cadeau d’une superbe fellation alors qu’elle avait enlevé son soutien-gorge afin de me laisser plus de liberté pour lui caresser les seins.

Soudain, la sonnette d’entrée retentit.

« Mince ! le plombier ! je l’avais complètement oublié ! » dis-je en refermant mon pantalon. Dans la précipitation, Elsa reboutonnait sa chemise et cachait le soutien-gorge sous un coussin. Elle remettait un peu d’ordre dans sa coiffure tandis que J’ouvrais la porte.

Le plombier entra avec la pièce dans la main. En me retournant, je comprenais immédiatement la raison pour laquelle notre plombier regardait ainsi Elsa.

On pouvait parfaitement dessiner sous le tissu de sa chemise la forme des seins alors que l’on ne pouvait ignorer les deux pointes que faisaient les tétons dressés. Je pouffais de rire silencieusement à la vue du spectacle tout en me souvenant de la scène précédente !

Lorsque Elsa se dirigea vers les toilettes en compagnie du plombier, le mouvement de ses seins ne fit qu’augmenter la température ambiante. Notre plombier semblait complètement désorienté.

Pendant qu’il s’agenouillait pour travailler, nous l’observions dans l’entrée des toilettes. Je m’étais posté derrière Elsa et regardait par-dessus son épaule. Soudain, je sentis une pression se faire sur mon pantalon. Tandis qu’Elsa discutait avec le plombier, elle massait mon sexe. Le message était clair.

Le plombier donnait de nombreuses explications à son travail tout en tournant fréquemment la tête dans notre direction. De sa position, il devait avoir une vue parfaite sur la poitrine d’Elsa. Je me demandais même s’il ne voyait pas sous sa chemise du fait que celle-ci était très ample.

Qu’importe, Elsa semblait ou faisait semblant de s’intéresser au travail en cours. Je constatais surtout qu’elle reluquait notre plombier sous toute les coutures tout en continuait à me caresser ce qui m’excitait doublement.

« Voilà, c’est terminé » dit le plombier en se redressant.

Elsa me laissait dans une position très inconfortable. Une bosse très suggestive déformait à présent mon pantalon.

« Super ! Combien vous devons nous ? » demanda Elsa sentant parfaitement son regard posé sur ses seins.

« 80 € s’il vous plait » dit-il en détournant les yeux. Elsa sentit alors une bouffée de chaleur lui monter au visage lorsque son regard effleura l’entrejambe du plombier.

« Ouah ! il semblerait que je ne le laisse pas insensible ! » pensa Elsa en se dirigeant vers la salle de séjour.

Elle se pencha sur la table pour rédiger le chèque, cambrant volontairement exagérément les reins afin de lui offrir la meilleure vue possible sur ses fesses.

« Ne restez pas debout, asseyez-vous ! » dit-elle en le regardant par-dessus l’épaule.

« Merci » répondit le plombier en prenant place face à Elsa.

Ses yeux s’écarquillèrent lorsqu’il découvrit la vue offerte par l’ouverture de la chemise.

De par sa position, Elsa lui offrait une vue imprenable sur ses seins.

« Tenez, voici votre chèque. Vous voulez boire quelque chose ? Vous semblez avoir chaud ! » demanda Elsa en le regardant avec gourmandise.

« Hummm, j’aimerais bien me le faire ! » pensait-elle en ne changeant absolument de position.

« Non, merci c’est gentil mais je dois partir. J’ai beaucoup de travail » répondit le plombier en se levant maladroitement de la chaise. Il se rendit compte alors de la situation lorsqu’il sentit le regard d’Elsa sur son entrejambe. Il ne pouvait absolument pas dissimuler la bosse que faisait son sexe torturé par le manque de place.

J’observais la scène avec gourmandise.

Elsa se dirigea vers lui.

« Dites-moi, vous semblez en pleine forme ! » dit-elle alors en plaquant la main sur son pantalon. Je connaissais Elsa, rien ne pouvait l’arrêter. J’attendais la suite avec une grande excitation.

Le plombier me regardait alors avec des yeux exorbités.

« Mais ! » réussit-il à bredouiller tandis qu’elle avait déjà ouvert son pantalon et plongé la main dedans.

« Cela vous dirait de faire une petite pause avec nous ? » demanda-t-elle en extirpant son sexe tendu comme un arc. Il était entièrement épilé et fichtrement bien monté, le bougre. Elsa poussa un petit sifflement d’admiration en enveloppant le membre de sa main. Décalottant celui-ci, elle cajola le gland du pouce.

« Ne vous inquiétez pas, mon mari adore ce genre de scénario ! » dit-elle en riant.

« Vous êtes sérieux ? » demanda le plombier en nous regardant d’un air affolé.

« Nous aimons tout simplement pimenter notre vie sexuelle » lui répondis-je en glissant les mains sous la chemise d’Elsa.

Il poussait déjà de petits gémissements très évocateurs sous les caresses d’Elsa. Je l’aidais à se débarrasser de ses chaussures, envoyant par la même occasion balader le reste de ses vêtements. Elsa, tout en le tenant par la queue, l’emmenait vers la banquette. S’allongeant sur celle-ci, elle retirait sa chemise, offrant ainsi sa poitrine au plombier qui se rua dessus. J’aidais également Elsa à retirer ses vêtements. Elle était entièrement nue, offerte aux caresses de notre plombier. Sa langue parcourait son ventre puis descendait vers le mont de Vénus (entièrement épilé si ce n’est qu’un petit buisson en forme de ticket de métro). Elsa poussait des gémissements de plaisir lorsque la langue pénétrait son intimité.

De mon côté, j’avais profité de cet intermède pour me dévêtir et avait pris place aux côtés d’Elsa. Dirigeant mon sexe vers sa bouche, elle ne se fit pas prier pour le prendre.

Notre hôte était allongé sur la banquette, le visage enfoui entre les cuisses d’Elsa. Tenant celles-ci entre ses mains, il dévorait littéralement sa chatte. Celle-ci semblait particulièrement apprécier ses coups de langue car elle, poussait des grognements de plaisirs tandis qu’elle s’affairait sur ma queue.

Ses doigts se baladaient tantôt sur mon sexe tantôt entre mes fesses, s’insinuant innocemment plus loin. J’adorais cela et elle le savait. Soudain, Elsa se cambra en poussant un long gémissement. Les yeux fermés, elle jouissait sous les caresses de notre hôte.

Le plombier se redressait. Son regard brûlait d’excitation.

Nous échangions nos positions.

« Viens » me dit-elle en ouvrant largement les cuisses.

Je la pénétrais d’un trait. Elle était trempée. Elsa suçait le plombier. Massant d’une main ses testicules, elle donnait aussi le rythme à la fellation. Le plombier donnait de petits coups de reins. Il gémissait de plaisir en levant le visage vers le plafond.

« Attention ! tu vas souffrir ! » pensais-je en regardant la scène. Il devait prendre un sacré pied car Elsa était une experte en fellation.

De ma position, je me trouvais très près de l’action.

Elsa dût lire dans mes pensées. Sans pour autant arrêter de le caresser, elle me regarda en dirigeant la queue vers mon visage.

« Tu veux goûter ? » me dit-elle en me faisant un clin d’œil. Le plombier nous observait incrédule. Il n’eu pas le temps de réfléchir car j’avais déjà ouvert la bouche, faisant disparaître entre mes lèvres le gland tuméfié. Le plombier restait interdit, ne sachant plus quoi faire. Elsa guidait sa queue au fond de ma bouche tout en lui caressant les boules. Le plombier devint comme fou sous les caresses prodiguées. Il haletait de plus en plus rapidement.

Il se positionna au-dessus du visage d’Elsa pour bien me faire face. Il prit ma nuque d’une main tout en donnant des coups de reins de plus en plus rapide dans ma bouche.

La langue d’Elsa jouait avec les boules du plombier en poussant de petits cris de plaisir. Pour couronner le tout, elle glissa la main sur mon sexe. Elle savait que cela me rendait fou. Je sentais les ondes de plaisir parcourir mon bas-ventre. Je n’allais pas pouvoir me retenir bien longtemps à ce rythme !

Soudain, le plombier se retira. Elsa saisit sa queue d’une main. Elle savait qu’il était au point de non-retour. Elle imprima alors un rapide mouvement de va-et-vient sur le sexe tendu à l’extrême.

Le plombier poussa un cri rauque tandis que de longs jets de semence zébraient les seins d’Elsa.

Dans un dernier mouvement, je m’immobilisais au plus profond d’Elsa. Elle entoura mon bassin de ses jambes afin de mieux sentir mon sexe fiché en elle.

« Il me semble qu’il y’a une fuite dans la salle de bains. Vous pourriez revenir rapidement ? » dit Elsa dans un éclat de rire.

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